Adhérez

Découvrez 10 bonnes raisons d’adhérer à notre syndicat et rejoignez-nous en quelques clics

Le télétravail à la Une du n°153 des Cahiers du BTP

Après l’envolée du télétravail pendant la période du Covid, les entreprises veulent faire revenir leurs salariés au bureau, au nom de la productivité. Comment retrouver le bon équilibre entre distanciel et présentiel ?

Pointer, au sens littéral et figuré, travailler chez soi… Curieusement, cette approche duale de l’organisation du travail, est redevenue d’actualité. Si le télétravail s’est imposé comme une forme alternative de travail durant la période du Covid, le concept est ancien.

Autrefois perçu avec inquiétude par les salariés, car potentiellement synonyme d’une mise à l’écart déguisée de l’entreprise ou en rupture avec des habitudes de travail profondément ancrées dans les organisations, considérant que la présence au bureau est la forme normale du travail salarié, le télétravail a été largement plébiscité, pour deux raisons essentielles : il permet d’une part un partage plus équilibré entre la vie professionnelle et la vie personnelle, d’autre part un gain de temps et d’efficacité en supprimant les temps de transport.

Aujourd’hui, 71 % des entreprises françaises imposent des jours de présence au bureau, alors que 62 % des salariés désirent continuer de travailler à distance au moins la moitié de la semaine.

Ce qui explique que les entreprises avancent prudemment, avec le souci de ne pas être considérées comme « vieux jeu », notamment auprès de leurs jeunes salariés, dont un bon nombre n’a encore jamais fait l’expérience d’une présence au bureau cinq jours sur cinq.

-> Retrouvez notre dossier complet dans le n°153 des Cahiers du BTP, qui sera diffusé dans les prochains jours

Au sommaire de ce numéro également :
• L’actualité du siège et des sections
• 250 000 passoires thermiques sorties du parc locatif
• Les dialogues : Anticiper et s’adapter à la menace d’une cyberattaque

  • La sélection techno des Cahiers du BTP
    • La saga des bâtisseurs : La Défense, le « Manhattan français », à la recherche d’un second souffle